Doel

J’ai profité du début de l’automne pour me rendre dans la ville quasiment abandonnée de Doel. Le vent, la pluie, et le soleil, le temps de déambuler plusieurs dizaines de minutes dans cette ville vide, livrée aux taggeurs, à la végétation, aux paons gardiens de cimetière. Étrange sensation du temps en suspension, avec en fond la centrale nucléaire et les grues du port d’Anvers.